Oh c'est moi Phoenix

[00:12:09] Anton-Ceylan C.-Whitehead : Non mais j'ai vraiment envie de lui faire avoir un bébé mais là tant que leur histoire est pas plus calme

Haha dernière chose que j'ai copié MDR

https://weareyoung.forumsrpg.com/chatbox

Patate xD

Bah quoi pas de ma faute si tu veux des gosses super tôt

« Non, je les accrocherai pas. Notre vie, c'est plus ça, j'ai pas besoin de me le rappeler tous les jours. »

Tu hoches la tête, tu comprends son raisonnement mais tu trouves ça triste qu'elle soit déjà aussi blasée à seulement 16 ans. T'aurais voulu qu'elle garde encore un peu de son innocence et de son insouciance, pas comme toi. T'aurais voulu que rien ne vienne ternir sa joie de vivre et sa bonne humeur. T'aurais voulu qu'elle n'ait pas à pleurer plus que nécessaire. Pourquoi est-ce que vous n'aviez pas une vie comme les autres ? Pourquoi est-ce qu'on vous imposait ça ? Ta mère croyait fermement en Dieu mais toi, tu avais du mal à concevoir qu'une entité supérieure puisse rester des bras croisés pendant que certains sont enchainés à la souffrance comme des bêtes à leur donjon. Non, c'était compliqué à concevoir pour toi.

« Mais ça veut pas dire que ça le serait plus jamais. Vois pas ça comme un fardeau, vois ça comme un objectif à atteindre de nouveau. »

Tu la regardes ranger méticuleusement . Tu passes une main dans tes cheveux, calmement. T'es parfaitement réveillé à l'heure actuelle. Parfaitement réveillé et parfaitement lucide. Mais t'étais fatigué, une espèce de fatigue latante. Tu te laisses tomber sur le dos. Et tu fixes le plafond sans vraiment le voir. T'as envie de croire que ta petite soeur sera à nouveau heureuse, t'as besoin d'y croire et tu feras tout pour y parvenir, absolument tout ce qu'il faut. Parce que c'est ça ton rôle.

« j'ai réfléchis à quelque chose anton. j'en ai marre de te voir assumer tout seul, moi aussi je dois bouger mon cul. » Tu te redresses, t'aimes pas ce que ça veut dire mais tu te redresses d'un coup. s encore décidé sur ça. enfin bref, dans ce cas-là, j'aurais plus de temps libre et je pourrais chercher un boulot, honnête cette fois-ci. je pourrais t'aider à relever notre famille. »
« Non. » Ta voix est basse, sourde mais inflexible. « Non, c'est hors de question. Ecoute-moi Robyn. Tu n'as que 16 ans et jusqu'à ce que t'aies terminé le lycée, il est hors de question que tu travailles. Je veux que tu te concentres sur tes études. C'est clair ?»

Pendant que tu parlais, tu t'étais posté devant elle pour être sûre qu'elle te regarde qu'elle voit que tu n'étais pas en colère mais bien sérieux et que tu ne souffrirais aucun refus. Il était hors de question qu'elle travaille, tu ne voulais pas qu'elle devienne comme toi et surtout , tu ne voulais pas qu'elle mette ses études entre parenthèse. Si seulement vous pouviez ne plus jamais avoir à vous soucier de quoi vous vivriez le lendemain. Si seulement vous pouviez ne pas avoir à compter chaque centime. Mais c'était pas possible, non. Mais tant que tu serais là, il était hors de question que Robyn prenne sur elle pour assumer. Pas maintenant, elle n'était encore qu'une enfant. Et tu voulais faire en sorte qu'elle continue à en profiter au maximum.

Je conduis pas quand j'ai bu, je conduis même pas beaucoup. Je me déplace surtout en vélo. J'aime pas trop conduire en fait et je conduirais jamais bourré, jamais.

Union Jack.

C'est moua !

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Et c'était pour? XD

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La PA maybe ?

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http://www.jedessine.com/c_90/lecture/contes-classiques/les-contes-de-charles-perrault/peau-d-ane

https://www.youtube.com/watch?v=RTm0o0bsTYc



Il y a avait tellement longtemps *.*

Il était une fois, une jeune femme brune nommé Brunehild. De ce dont elle se souvient, elle habitait au Danemark avec ses deux parents. Ces deux personnes étaient pour la protection de la nature, et ils récoltaient des…plantes, ce qui était autant autorisés que l’était leur vente. Mais, très vite, la jeune brune ne put plus supporter ses géniteurs et s’en alla de chez elle, en ne laissant aux deux parents qu’un énorme sentiment de peur et de culpabilité. Avant de ne l’oublier totalement, ils demandèrent au chef de police du village de retrouver leur Brune bien aimée. Le chef de Police Leroy s’y attela. Il la retrouva au bord d’un ruisseau entouré de bateaux qui menait à la mer. Il l’aida à sécher ses larmes et lui annonça qu’elle devait retourner chez elle, avec ses parents qui commençaient à s’inquiéter. La jeune femme lui pria de ne pas la renvoyer chez elle car elle n’y retrouverait qu’ignorance et malheur. Remi Leroy prit donc la décision de prendre cette jeune fille sous son aile. Il l’amena chez elle, et, tandis qu’il arrêtait des criminels et hors la loi, elle lui faisait à manger. Le soir, lorsqu’il rentrait chez lui, épuisé après une journée de travail, il obligeait la jeune brune à venir dans son lit. Très vite, elle tenta de refuser, et il se mit à la frapper. Et toutes les nuits, Brune faisait le même cauchemar. Rémi était là, entouré de fumée noir, s’approchant d’elle pour la frapper. Et à chaque fois, elle rêvait de cette fille, qui chassait les ténèbres pour faire place à une lumière étincelante. Malheureusement, très vite, bien trop vite, la lumière relaissait place aux ténèbres. Brune commençait à être connue sur le travail de Rémi et un jour, elle l’y accompagna. Alors que le commissaire Leroy faisait de la paperasse, un officier interrogeait une jeune femme. Celle-ci semblait fragile mais forte à la fois. Et dès que Brune tourna la tête vers elle, une auréole blanche sembla apparaitre au-dessus d’elle. La fille de son rêve. Et elle avait l’air d’être dans de sacrés problèmes. Sans ne trop réfléchir à ce qu’elle faisait, elle alla voir le collègue de son père, qui la regarda avec un sourire. Brune était quelqu’un en qui il pouvait avoir confiance. Et en deux trois phrases, la prisonnière était relâché. Elles se présentèrent l’une à l’autre. Francesca De La Vega qu’elle s’appelait. Elles s’échangèrent leur numéro de téléphone et devinrent très rapidement amies. Franky faisait comprendre à Belle que, même si elle aimait beaucoup Rémi pour l’avoir sauver, elle ne devrait PAS rester avec un homme qui la frappait.
Il était une fois un beau jeune homme qui avait perdu son père jeune et dont la mère ignorait presque qu’il existait et qu’il vivait sous le même toit qu’elle. Très vite, il rejoignit des gangs de dealer, et certains même un peu plus dangereux. Dès ses 17 ans, il fut munit d’une arme par l’un d’eux. Et la première fois qu’il l’a brandit, sa vision se brouilla. Au lieu de voir le chef du gang qui se trouvait devant lui, il voyait une fille. Une jeune fille brune magnifique. Elle semblait tellement fragile. Elle semblait tellement seule, perdue. Et lui, il était là pour l’aider. Il la récupérait, et l’embrassait. Puis, il rouvrit les yeux et la personne en face de lui était recluse dans un coin de la salle. Qu’est-ce qu’il s’était passé ? Aucune idée ! Depuis, il brandit son arme dès qu’il le peut car, à chaque fois, il revoit cette fille. Et à chaque fois, il n’a aucun souvenir de ce qu’il s’est passé pendant qu’il brandissait l’arme. Sa meilleure amie Francesca De La Vega, essaye de l’aider à trouver cette fille, mais il ne parvient jamais à le lui décrire. Elle lui demande des conseils pour aider son amie en détresse. Et un jour, alors que Brune allait rendre visite à Francesca, elle croise le chemin de Lev. Lev qui, à ce moment, tenait une arme pointé directement sur un SDF.
Le jeune homme tourna la tête vers sa direction et la vit. La fille de ses black-out. Elle est partit en courant, Lev a fui aussi, laissant le SDF, qui ne bougeait plus (il avait trop peur) seul dans la ruelle. Deux jours plus tard, ce même homme était retrouvé mort. Lev ne l’avait pas tué, mais Brune le cru, et Lev aussi. Puis, un jour, la jeune femme choisit, grâce aux conseils de Franky (Francesca) de partir définitivement de chez Rémi. Depuis quelques temps, il ne restait que sur une affaire. Il voulait attraper un dealer de drogue qu’il ne parvenait pas à prendre. Lev. Il ne connaissait que son nom et son visage.
Pour résumé la suite puisque ce sera expliqué dans les liens, Brune s’est posé dans une ruelle où elle s’est faire agressé par des dealers. Et, tel un sauveur, lev était arrivé, et, depuis l’histoire du SDF, avait ressortit pour la première fois son arme. Black-out. Il avait repris conscience, les dealers étaient partis, et Brune était évanouie. Il l’emmena chez elle. Je ne vais pas vous raconter toutes les péripéties qu’il y eut avant que Brune puisse enfin lui accorder sa confiance, mais désormais, elle le considère comme son protecteur, et essaye de faire en sorte qu’il l’accepte comme personne occupant son cœur. Mais il se le refuse. Il a peur de la faire souffrir. Pendant ce temps, Rémi a découvert, récemment, que Lev et Brune se connaissait, et depuis, il a fait de cette affaire de dealer une affaire personnelle. Il ne veut pas seulement emprisonné Lev. Il veut le tuer.

Masha Sedgwick