Sujet: Dylan ○ find what you love and let it kill you Mar 14 Mai - 22:34
HEY NICE TO MEET YOU ! Dylan Erika Zimmer
Nom :Zimmer.Prénom(s) :Dylan Erika.Date et lieu de naissance :02 Août 1995.Âge :17 ans.Nationalité(s) :Américaine / Allemande.Statut amoureux :Libre.Situation familiale : (parents, frères/sœurs, situation financière ...) Vit chez son frère, aux crochets de son frère – et de leurs parents qui aident malgré tout. Activités :Bosse au black dans un night-club.Études :A définitivement arrêté, d’un commun accord avec son lycée.Groupe :Les abîmés de la société.Avatar :Kristen Stewart.Crédit :Sweet.
▽ Qualités/Défauts: (3/4 adjectifs minimum) rebelle, capricieuse, manipulatrice, hystérique, brisée, invivable, irrespectueuse, menteuse, malsaine, perdue, jalouse, têtue comme pas deux, déterminée aux tendances cleptomanes, extrêmement vulgaire, attachée, a une soif d'autodestruction maladive, sans limite, droguée jusqu'à la moelle.
Salut je m’appelle Boris, et tu vas devoir répondre à toutes mes questions. On va commencer par un truc simple, je suis sûr que t’as déjà entendu parler de moi ?... Non.Mauvaise réponse ! Bon, sinon tu kiffes Lake Worth ?J’imagine, sinon je me serais barrée.Et t'y vis depuis combien de temps ?Depuis mon enfance.Cool. Alors, des résolutions pour cette année ? 2013 année de la baise pour toi ou pas ?Toujours un peu plus.Eh bah.. Bon, t'as pas un secret, un truc à cacher ? Un truc que personne doit savoir ? Ça restera entre nous, t'inquiète !Va te faire, je parlerai quand je serais morte.Je présume que tu mens, comme tout le monde. C’est quoi le mensonge le plus ridicule que t’as dit pour te sortir du pétrin ?Je mens jamais. (peut-être bien que c’est celui-là, mon mensonge le plus ridicule…)Ouais, je m'en doutais un peu en fait.. Enfin bref, ça m’emmerde ces questions on va s'rouler un joint ?J’arrive.
Et irl t'es qui ?
Pseudo :Cold Blooded.Pays :France.Comment tu nous as connus ?Bazz’.T'en penses quoi ? Des commentaires/suggestions ?Graou. Fréquence de connexion :3/7.Scénario ou PI ?PI.
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[color=#DE7681]✽[/color] Kristen Stewart - Dylan E. Zimmer.
QUEL FÊTARD ES-TU ? (remplacer par un ✔, une seule réponse possible)
on est jeudi soir, tu reçois un sms pour te dire qu’il y a une fête improvisée ce soir à deux pâtés de maison de chez toi. tu te retrouves à devoir choisir entre aller faire la fête ou bosser ta grosse interro pour demain, 8h. alors, tu fais quoi ?
❒ rien à faire de la soirée, les cours c’est trop important, moi, je bosse ! ❒ je sais faire les deux à la fois moi, je vais y aller une petite heure et je bosserai ensuite. ❒ oh, tu sais, j’y vais au talent moi, comme d’hab t’façon ! on n’a qu’une seule vie mon gars. ✔ ah bon, y avait une interro ? baaah, on s’en fouuuut, fiestaaaaaa !
généralement, quand tu regardes les photos de soirées le lendemain, t’es qui ? celui qui est à poil au milieu du salon ? celui qui quiche sur son crush ? celui qui pleure dans un coin ? celui qui baise dans un coin de la maison ? ou peut-être celui qui est clean, en fait ?
❒ je préfère pas en parler, j’suis toujours dans des situations embarrassantes.. ✔ moi, tu m’vois en train de pécho plein de gens différents sur chaque photo aha ! ❒ j’suis à peu près clean, en général, je tiens les cheveux de ceux qui vomissent. ❒ photooooo ! j’suis la personne qui s’incruste sur toutes les photos moi, alors qu’on m’connaît pas !
et, en fait, on tu te souviens exactement de tout le lendemain de la soirée, ou bien on est obligé de te montrer les photos pour que tu saches ce que tu as fait tellement t’avais bu ?
✔ absolument pas, aucun souvenir, on m’apprend des trucs improbables chaque fois ! ❒ j’ai un peu des flashs, mais c’est difficile quand même de me souvenir. ❒ bien sûr que je me souviens de tout, comme si c’était.. ah ben, c’était hier !
enfin, bu, c’est vite dit. tu prends quoi, toi, en soirée ? tu restes sur l’alcool, simplement, ou tu tournes à autre chose ? ganja, ecsta, lsd, cocaïne, poppers, héro ? ou alors, tu te contentes du paquet de clopes qui traîne sur la table ?
✔ je prends tout. tout ce qui se boit, se fume, s’avale, se sniffe, se pique. tout c’qui m’fait planer. ❒ ah non, moi, je reste à l’alcool et la ganja hein. bon, un cachet de temps en temps, pourquoi pas. ❒ y a rien de mieux que la vodka, mon gars, rien ! ❒ je touche pas à tout ça moi, je reste aux clopes, c’est tout. et encore.
On dit que les "on" sont tous des cons
On dit souvent que les enfants n'avouent jamais rien à leur parents quand ils vont faire la fête, ils mentent et n'avouent quasiment jamais la vérité. C'est vrai ? Mes parents ont toujours eu tendance à comprendre que je leur avais menti – en général, ils le saisissaient au moment où les flics les appelaient pour qu’ils viennent me chercher au poste. On dit et on répète tout le temps que l'alcool n'est autorisé qu'au plus de vingt et un ans en Amérique, tu fais gaffe à la loi toi ou pas ? Je fais gaffe à la loi. Je me penche dessus, je la retourne et je la… je lui dis merde, quoi. On dit souvent que la première fois qu’on le fait c’est le plus beau jour de sa vie, avec la bonne personne et tout, t’en penses quoi ? M’en souviens plus. C’était peut-être avec un copain de mon frère. Ou avec sa copine. On dit que l’alcool et la drogue ça fait vraiment pas bon ménage, toi t’es plutôt mélange douteux ou tu restes basique vodka/jus d’orange c’est incontournable ? Qui dit ça ? Ils devraient sortir plus – je les invite s’il faut, ils ont pas l’air de beaucoup s’amuser. On dit que prendre le volant après avoir bu c’est vraiment pas une bonne idée, t’écoutes toi toutes ses préventions ou t’en a rien à faire, parce que quand tu décides de rentrer c’est en voiture et pas autrement peu importe ce qu’on te dit ? Niveau voiture, ma place c’est plutôt banquette arrière. On dit qu’une fois qu’on a pris sa première cuite, les fois d’après on fait plus attention. Tu connais tes limites ou pour toi peu importe tant que t’es pas déchiré ta soirée n’est pas réussie ? Des limites ? Oh, ça aussi, c’est triste à entendre. Il faut sortir les gars, sérieusement. Et vivre, pas faire semblant.
On dit souvent qu’une fête réussie, c’est une fête avec de l’alcool, des invités canon et surtout du bon son ? C’est quoi toi la musique qui te mets dans tout tes états ? Je m’en fous un peu. Lors d’une soirée, c’est pas franchement ce qui me met dans tous mes états. On dit que l’habit ne fait pas le moine et des fois cette citation n’est vraiment pas fausse. Alors tu caches ce que tu es ou au contraire t’es 100% authentique, ta casse-couille attitude c’est toi et personne d’autre. Authentiquement casse-couille, chef. On dit que les jeunes sont cons, que ça en devient problématique. Toi tu bosses un peu ou l’école ce n’est vraiment pas ton truc, t’as juste hâte d’une chose c’est que ça se finisse le plus vite possible. J’ai arrêté, virée trop de fois. Je crois que ça parle pour moi. On dit que quand on couche avec plus de trois garçons par jour c’est qu’on n’est pas vraiment considéré à sa juste valeur. T’en penses quoi toi ? Et t’es plutôt un(e) saint(e) ou une marie couche toi là ? Trois ? Par nuit tu veux dire, hein ?! On dit le plus souvent que la beauté c’est super important avant tout pour les jeunes, toi tu pécho quoi comme genre de meuf/mecs ? Ceux qui payent, ceux qui n’ont pas le droit, ceux qui crèvent de ne pas savoir me dire non, ceux qui risquent gros, ceux qui s’y prennent bien. On dit que souvent les questionnaires c’est chiant, mais tellement chiant qu’on a l’impression que ça s’arrête jamais c’est faux hein ? Il était cool mon questionnaire ? ... Un besoin d’être rassuré sur tes performances ? Oww, un vrai mec.
Dernière édition par Dylan E. Zimmer le Mer 15 Mai - 18:47, édité 6 fois
Dylan E. Zimmer
MESSAGES : 22 INSCRIPTION : 14/05/2013
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Mar 14 Mai - 22:34
3615 MY LIFE
« Bang bang bang bang »
Un spasme, un deuxième, puis toute une série. Souviens-toi. Des images, du vide, le vide, puis un son, des voix, connues, aimées. Une autre image, plus précise. Regarde, ce que tu as laissé. - Une pièce, un arbre, un sapin. Des lumières, une guirlande qui scintille. Toujours ces voix, incessantes. Impossible de comprendre ce qu’elles disent, elles sont couvertes par une autre ambiance. - Un énième spasme. - Ils t'aimaient, ils étaient là pour toi, et tu as préféré jouer à autre chose. La pièce est désormais nette. Devant le sapin, une famille. Le père, un homme classe d’environ trente-cinq ans, qui sent en permanence le parfum et qui s‘occupe de sa famille ; la mère, une femme parfaite dans la trentaine, ses cheveux châtains, lisses, tombent sur ses épaules et son regard protecteur laisse imaginer l’amour qu’elle porte à ses enfants ; les enfants, un garçon aux yeux clairs, âgé de même pas neuf ans, émerveillé par les couleurs de Noël, et une petite fille aux cheveux caramel qui court vers ses deux ans, un sourire innocent accroché sur son visage. Tu as préféré jouer ta rebelle, et quitter cette vie tranquille, sans raison. - Un corps qui tremble, et la scène change. - Toujours cette même famille, autour d’un gâteau d’anniversaire, dessus, quatre bougies. Le garçon rigole, il court autour de sa soeur. La petite tient une poupée à qui elle raconte sa vie. Mais tout ça, c’est fini, et c'est toi qui l'as voulu. Une autre scène. Des pleurs. La gamine, le visage décomposé, dans les bras de son frère, ne retient plus les sanglots qui l'étouffaient. Elle a neuf ans, lui seize. Quand elle s'engueule avec ses parents, c'est vers lui qu'elle va chercher du réconfort. Et ce soir là, comme tant d'autres, elle vient trouver le sommeil dans les bras de l'adolescent. - Le corps échoué sur le canapé se lève, et la jeune fille vomit, évacuant de ses pensées tous ses souvenirs. Sur la table du salon, des lignes blanches, jolie poudre défendue. Dylan fait deux mètres puis s’écroule sur le carrelage de sa salle de bain. Encore une fois. Elle ferme les yeux. Admire la putain que tu es devenue.
« Don't you want to ? Don't you want to hold the gun ? Don't you want to ? »
Ses yeux s’ouvrent difficilement tandis que la jeune reprend ses esprits. Salle de bain. Un coup d’œil vers l’horloge. Deux heures. Matin, après-midi ? Aucune idée. Quel jour ? Samedi ? Dimanche ? En vain, elle tente de se relever. Ses jambes ne la portent plus. Comme ça, posée sur sa baignoire, elle attend. Immobile, elle fuit les migraines. Pendant presque une heure, elle observe son lavabo, ses meubles, son peignoir posé derrière la porte. elle les connaît par cœur, à force. Courage. Les pieds ankylosés, elle atteint sa cuisine, puis son balcon. Trois heures du matin, son frère n'est pas là. Le froid fouette ses jambes nues. Une cigarette, des souvenirs, encore. Comme à chaque fois, une vague de passé la submerge. Quelques lignes. Un délire. Puis des « Souviens-toi » en masse.
Un soir, comme les autres. Elle appelle son frère, comme tous les mercredi. Il est parti il y a peu. La distance ne les éloigne pas pour autant, et la pré-adolescente de onze ans tient à avoir des nouvelles régulièrement. Au téléphone, il l'insulte, elle le descend. C'est toujours comme ça. Il lui a appris les insultes, les conneries, tous les trucs à ne pas faire. Et si ne plus pouvoir dormir dans ses bras est affreux, elle reste persuadée qu'il veille sur elle, de loin. Son connard de grand frère. Le seul en qui elle a une totale confiance. Le seul a qui elle tient plus que tout. La gamine rentre chez elle, fracassant la poubelle au passage. A un peu plus de douze ans, elle vient de se faire renvoyer de son collège. Ses parents ne comprennent pas ce qui a pu lui arriver. Punie, engueulée, elle rage et renverse sa chambre. Elle a été prise en train de fumer dans les toilettes avec les plus vieux. « C'est la première fois qu'une fille aussi jeune fume dans mon établissement ! » a juré le proviseur à sa mère. Sa vie depuis quelques mois commence à doucement dériver. Celle qui avait tout pour réussir, celle qui avait une famille aimante et attentionnée, commence à se détruire, à se rebeller, sans raison. Devenant folle à shooter dans chaque objet de la petite pièce, elle s'assied sur son lit et compose le numéro de Johannes. Son connard de grand frère. Le seul qui arrivait à la faire rire encore innocemment. Treize ans. Deuxième collège qui la vire. Trop d'absences, la brune ne mettait presque plus les pieds là-bas. « C'est que des cons. » répète-t-elle à son père qui s'énerve. Elle n'a aucune raison d'être triste, ou déprimée, et à vrai dire, elle ne l'est pas. Elle n'a simplement pas envie de vivre sa vie comme les autres. Elle veut enfreindre les règles, détourner les lois, juste pour s'amuser. Juste pour être dans l'illégalité. A la fenêtre de cette même chambre, une clope au bec, elle décroche le téléphone fixe, gueulant à ses parents que l'appel est pour elle. « Ouais, Jojo ? Putain, tu devineras jamais... Nan, j'suis pas en train de fumer nan ! Me casse pas les couilles ! » Elle écrase sa cigarette. « Nan mais j'te jure tu déconnes ! J'vais pas fumer à la maison. » Elle rit un instant. Il sait qu'elle ment, elle sait qu'il ne peut rien faire. « Fallait pas te barrer, connard. » Des cris, dans le salon. Dylan, les yeux écarquillés, vient de quitter la pièce en furie. Des larmes coulent sur son visage. Appuyée contre le mur du couloir, elle semble ne plus rien comprendre, ne plus rien vouloir comprendre. La voix de sa mère, au loin, fait des reproches à son mari. Il avait gaffé. L'ado avait entendu. Elle avait saisi. Glissant sur le mensonge de toute une vie, elle avait compris l'ampleur du mot « trahison », à quatorze ans et quelques mois. Dans la chambre de ses parents, Dylan fouille discrètement. Elle sait qu'ils cachent de l'argent dans un de leurs tiroirs. La gamine, en mini-jupe, finit par quitter la pièce. Elle est sensée être en cours, mais a trouvé mieux à faire. Du shopping. Pas pour acheter des fringues ou des maquillages, même pas des clopes. Elle a d'autres projets en tête. Le carrelage qui recouvre les murs est froid et couvert de tags en tous genres. L'éclairage par néons n'offre pas une ambiance chaleureuse, peu importe, le but n'est pas là. La rebelle, en quête de nouvelles sensations illégales, est défoncée. Premier joint. Merci papa et maman, pour les billets mal cachés. En face d'elle, contre elle, un gars plus vieux de quelques années, avec les yeux tout aussi rouges. Il ne la caresse pas, il la tripote. Elle rit, les paupières mi-closes. Première fois. Toilettes du collège. A à peine 15 ans, elle prend ses sacs et claque une nouvelle fois la porte de chez ses parents. Elle n'en est plus à son premier départ, mais celui là est tout autre. Elle quitte rapidement la ville et, quelques billets en poche, va rejoindre son frère. Quand elle le retrouve, elle saute dans ses bras, ignorant son air surpris. En quatre ans, elle avait changé. Ses yeux sont bien trop soulignés de noir, et son avidité de choses interdites se reflète dans ses vêtements. Peu importe. Il l'insulte, elle lui rend la pareille. Elle est bien, avec lui. Elle ferme les yeux sur le secret dévoilé quelques années plus tôt. Il ne le sait pas, elle ne le lui dévoilera pas et rentrera chez elle peu de temps après. A seize ans, une nouvelle fois virée de son lycée pour avoir volé de l'argent à un de ses professeurs, elle fait une dernière fois le chemin qui la sépare du domicile de ses parents. Elle sait qu'elle ne retournera plus chez ceux qui l'ont élevée du mieux qu'ils le pouvaient, chez ceux qui ont tout donné pour elle. Les rendez-vous chez tous les psychanalystes de la ville n'ont rien donné. Rien ne peut plus la satisfaire que de faire dans le délit. Elle a trouvé une nouvelle occupation, le vol, et est plutôt forte dans cet art. Pickpocket experte, elle dérobe n'importe quoi, n'importe où, tant que l'adrénaline est là. La valeur ne compte pas. Sa mère ne peut plus la supporter. Alors, une clope à la bouche, ses affaires sous le bras, dès le lendemain, elle va à l'appartement de son frère. « Ouais, Jojo, ouvre. C'est ta pute de petite soeur. » Elle rit, il l'accueille. Des hurlements jaillissent de la cuisine. Dylan, même pas dix-sept ans, hors d'elle, chiale comme jamais. Elle insulte à tout-va une blonde que Johannes se dépêche de raccompagner à la porte. Elle l'a surpris en train de baiser avec cette pouffiasse, et ne l'a pas supporté. Le garçon est à elle, et à personne d'autre. Aucune fille n'a le droit de marcher sur ses plates-bandes quand elle n'est pas d'accord. Et ce soir là, elle ne voulait pas qu'une autre le touche. Elle gueule, comme une tarée, lui disant qu'elle savait qu'il ne l'aimait pas, qu'il allait l'abandonner, qu'elle préférait crever maintenant si c'était comme ça. Evidemment, elle bluffe. La rebelle est bien dans sa vie. Elle sait que son aîné l'aime. Elle a juste envie d'un peu d'attention. Elle veut juste que son frère s'occupe d'elle, ce soir. Elle finit par se calmer et s'endormir dans ses bras, comme avant. Elle sait qu'elle est une soeur horrible, et s'en fout. Tant qu'elle s'amuse. Dix-sept ans. Coucher avec un prof, done. Se faire virer une nouvelle fois, done. Dylan, énervée, rentre chez son frère et commence à lui gueuler dessus. Ses parents, ayant appris la nouvelle, refusent de continuer de lui donner de l'argent, et vivre aux dépens de Johannes ne l’enchante pas. Elle a seulement baisé un vieux, un minable qui avait bien voulu ignorer la loi pour venir se loger au creux de ses reins. Un vieux con qui, apprenant que sa bouche encore enfantine ne voulait plus jouer avec lui, a ordonné qu'on la renvoie sous un prétexte bidon. La brune s'en fout, elle a poussé l'homme marié au vice, elle a réussi. C'est son seul jeu. Elle râle contre son aîné qui n'a rien fait et se met à l'insulter. Juste pour passer ses nerfs sur quelqu'un. Le débile utilise le même truc que toujours pour la faire taire. Comme d'habitude, ça marche, un silence s'installe un quart de seconde. Et puis, elle le gifle et l'insulte pour de bon, puis claque la porte et se casse. Elle va écarter les cuisses, se faire un rail, ou juste un pétard, pour se détendre, pour enfreindre le règlement.
Un rire étouffé. Un mégot de plus écrasé sur la terrasse. La gamine, maintenant serveuse au black dans un petit bar, sait quel diable elle est devenue. Arrogante, provocante, extravagante, vulgaire, hors-la-loi, rebelle, elle est tout simplement insupportable et s'en fout. Tant qu'elle appelle aux péchés. Elle part ranger ce qui traîne encore sur la table puis retourne se coucher. Bonne nuit.
Dernière édition par Dylan E. Zimmer le Mar 14 Mai - 23:21, édité 3 fois
Alex M. Eddison
MESSAGES : 751 INSCRIPTION : 28/04/2013
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Mar 14 Mai - 22:36
Bienvenue la BG
G. Roxana Russesco
MESSAGES : 307 INSCRIPTION : 26/04/2013Age : 27
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Mar 14 Mai - 22:37
Kristen Bienvenue jolie brune.
Dylan E. Zimmer
MESSAGES : 22 INSCRIPTION : 14/05/2013
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Mar 14 Mai - 22:48
Haha, quel accueil. J'ai même pas eu le temps de poster mon histoire. Enfin du coup j'ai édité pour faire tenir ça dans les deux premiers posts. Merci à vous !
Et je reparle ici de mon questionnement pour le choix de la célébrité... KStew ? Taylor Warren ? Anna Speckhart ? Je suis donc la p'tite invitée de ce sujet, et je ne suis toujours pas sûre... J'aimerais beaucoup vos avis / propositions, si vous avez ça en tête. Merci.
Alex M. Eddison
MESSAGES : 751 INSCRIPTION : 28/04/2013
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Mar 14 Mai - 22:50
J'opte pour Kirsten
G. Roxana Russesco
MESSAGES : 307 INSCRIPTION : 26/04/2013Age : 27
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Mar 14 Mai - 22:51
Pardon
Moi je vote Stewart, elle colle mieux à la description.
Alex M. Eddison
MESSAGES : 751 INSCRIPTION : 28/04/2013
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Mar 14 Mai - 22:56
Edit de l'autre message .
Comme j'aime Kristen, j'veux bien un lien quand tu seras validé
Dylan E. Zimmer
MESSAGES : 22 INSCRIPTION : 14/05/2013
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Mar 14 Mai - 23:02
Bon, je crois que la victoire peut être accordée à Stewart, nous penchions plus pour elle également. (Remarquez que je suis la patience incarnée, attendre demain pour faire un choix et finir la fiche aurait été trop dur. )
Merci encore à vous deux, et avec plaisir pour le lien. (Momsen, bordel )
Kamilla Lewinski
MESSAGES : 693 INSCRIPTION : 08/03/2013
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Jeu 16 Mai - 17:10
Bienvenue. j'aime bien comment tu écris. je te valide, amuse-toi bien.
Dylan E. Zimmer
MESSAGES : 22 INSCRIPTION : 14/05/2013
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Jeu 16 Mai - 19:55
Merci la belle. Bon, tu ne me reconnais apparemment pas... Si tu n'avais pas eu l'habitude de me voir jouer uniquement des mec, je l'aurais mal pris...
Willow J. Fawkes
MESSAGES : 168 INSCRIPTION : 01/05/2013
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Jeu 16 Mai - 20:19
Bienvenu parmi nous désolé du retard
Kamilla Lewinski
MESSAGES : 693 INSCRIPTION : 08/03/2013
Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you Sam 18 Mai - 19:39
Dylan E. Zimmer a écrit:
Merci la belle. Bon, tu ne me reconnais apparemment pas... Si tu n'avais pas eu l'habitude de me voir jouer uniquement des mec, je l'aurais mal pris...
Mais, qui es-tu ?
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Sujet: Re: Dylan ○ find what you love and let it kill you